Dimanche 29 septembre 2024 à 17h30
Auditorium Darius Milhaud, 2 impasse Vandal, 75014 Paris
Gabriel Fauré, né à Pamiers (Ariège) en 1845 et mort à Paris en 1924 (nous fêtons cette année le centenaire de sa mort), subtil musicien, n’en finit pas de nous intriguer. Il a créé des tubes aux limites de la variété en même temps que des pièces austères et mystérieuses. Le 29 septembre vous entendrez, après une courte évocation des musiciens amis et proches (Pauline Viardot, André Messager, Camille Saint-Saëns), les plus belles mélodies sur les textes des poètes qui l’ont inspiré : Verlaine, Leconte de Lisle, Richepin, Victor Hugo, Baudelaire…
avec Anémone Robic, Jean-Baptiste Dumora, Françoise Tillard
Programme du 29 septembre 2024
Pauline Viardot (1821-1910), Rêverie (Armand Silvestre, 1837-1901), 1892, Duo
Gabriel Fauré (1845-1924),
Les Berceaux (Sully Prudhomme, 1839-1907), op.23 n°1, 1879
Chanson du Pêcheur – Lamento (Théophile Gautier, 1811-1872), op.4 n°1, 1872
André Messager (1853-1929), Ritournelle (Henry Gauthier-Villars, 1859-1931), 1892
Camille Saint-Saëns (1835-1821), L’Attente (Victor Hugo, 1802-1885), 1855
Gabriel Fauré et ses poètes
Victor Hugo (1802-1885), Le Papillon et la Fleur, op.1 n°1, 1861
Charles Baudelaire (1821-1867), Chant d’Automne, op.5 n°1, 1871-72
Leconte de Lisle (1818-1894), Le Parfum impérissable, op.76 n°1, 1897
Les Roses d’Ispahan, op.39 n°4, 1884
Nell, op.18 n°1, 1878
Romance sans paroles op.17 n°3, 1863
Armand Silvestre (1837-1901), Le Secret, op.23 n°3, 1880
Jean Richepin (1849-1926), Larmes, op.51 n°1, 1888
Au Cimetière, op.51 n°2, 1888Paul Verlaine (1844-1896), Spleen, op.51 n°3, 1888
Leconte de Lisle (1818-1894), La Rose op.51 n°4, 1888
Paul Verlaine (1844-1896), Trois poèmes tirés des Fêtes galantes
*Clair de Lune, op.46 n°2, 1887
*Mandoline, op.58 n°1, 1887
*En Sourdine, op.58 n°2, 1887
Un poème tiré de La bonne Chanson
*Puisque l’Aube grandit, op.61 n°2, 1892
Un poème tiré de Sagesse
*Prison, op.83 n°1, 1894
Albert Samain (1858-1900), Soir, op.83 n°2, 1894
Jean de la Ville de Mirmont (1886-1914), L’Horizon chimérique, op.118, 1921
*La Mer est infinie
*Je me suis embarqué
*Diane, Séléné
*Vaisseaux, nous vous aurons aimés Albert Samain (1858-1900), Pleurs d’Or, duo, op.72, 1896