Dimanche 2 décembre 2018 à 16h30 à l’Espace Ararat, 11 rue Martin Bernard, 75013 Paris
La musique classique et la convivialité vont bien ensemble…
Les compositeurs et leurs poètes n’ont certes pas le même enthousiasme vis à vis de l’ivresse… Chez Beethoven, il s’agit de musique de salon, écrite pour faire danser et chanter la « gentry ». Ces joyeuses chansons sur des thèmes écossais ou irlandais montrent l’importance du folklore chez les romantiques. Les textes, inspirés du populaire, parlent de bataille et de courage, mais aussi du bon ménage que font « l’amour, la musique et le vin »!
Les poètes de Schubert ont un esprit plus schillérien : ils chantent la fraternité, l’amitié, et le verre de vin deviant symbole d’une unité à laquelle ils aspirent déjà, unité qui doit se faire dans la joie et l’union des coeurs. À noter : le vin est blanc.
Le Don Quichotte de Ravel célèbre lui aussi la joie de l’ivresse ! Tout comme Poulenc, Mozart, Schumann, Honegger et Verdi… De même que Offenbach.
Avec Armelle Marq, Laura Muller, Renaud Boutin, Annie Balmayer, Bertrand Aimar, Françoise Tillard